2020 fin d’une année à bout de souffle !
Le bilan de cette année 2020 peu lisible entre confinement et crise économique!
Je me souviens du début de cette année ou innocemment on se souhaitait une « année 20/20 » ! s’il faut jouer avec les chiffres, ce serait plutôt deux fois zéro pointé ! Oui une année avec deux confinements, ça a sacrément mis le souk dans nos vies, nos projets, nos rêves et même nos cauchemars !
Question immobilier, on nous a parlé d’exode des grandes villes vers les campagnes. On n’y est pas encore. On attend pour ce faire que les transports et les connections internet soient au niveau et que le télétravail soit une réalité technologique pour tous. On envie les Scandinaves bien équipés et on ne peut que constater notre retard en la matière. Ce qui est clair, c’est que certains ont bien souffert de se retrouver dans des logements exigus et sans extérieur et qu’aujourd’hui, on n’est plus prêts à s’endetter sur 20 ou 25 ans si c’est pour vivre les uns sur les autres, alors qu’à moins d’une heure du bassin d’emplois principal on peut avoir plus de surface avec un jardin ou une terrasse.
Pour une minorité, ça n’a rien changé puisque le virus n’existe pas.
C’est vrai qu’on peut se demander quel peut être l’intérêt d’une ville comme Paris, si les restos et la culture restent portes closes. C’est notamment pour ça qu’on aime les grandes villes, pas pour les bouchons, les rats, les grèves, et les manifs en tout genre ou bien ?
Les agents immobiliers et les chasseurs ont été plongés dans un monde surréaliste, d’abord dans l’interdit total d’exercer. Puis, lors de ce second confinement allégé, il leur a été permis de faire des visites à des conditions parfois ubuesques. Pas plus d’un visiteur par visite…durée de visite 30 mn (pour un studio, c’est largement suffisant, c’est vrai), une visite le matin et une visite l’après-midi seulement, c’est tout juste s’il n’a pas fallu faire le ménage à blanc entre chaque visite. Dans certains cas, ça n’aurait pas été du luxe pour avoir vu des biens à louer non pas vétustes mais franchement beurk, ce qui est un comble dans une période où finalement, on dispose de plus de temps chez soi. Le virus et ses aléas n’ont pas rendus certains de nos congénères moins désinvoltes hélas.
Les chasseurs ont été accueillis avec le sourire dans les agences pendant la période ou seuls les professionnels pouvaient faire des visites. Nous avons filmé les biens, nous avons été vos yeux. Nos vidéos, ont tout montré parce que nous avons tout regardé. Quand les visites ont été possibles, ce n’était plus qu’un contrôle, et moins une découverte. Nos clients ont perdu moins de temps, ils en ont profité pour prendre l’air.
Les « stops and go » ont faussé la vision d’un marché parisien qui logiquement s’oriente à la baisse mais que les analystes nous rapportaient en augmentation à la sortie du premier confinement. Oui, il y avait plus d’activité après deux mois d’arrêt, les transactions d’avant l’arrêt s’ajoutant aux projets qui se maintenaient. Mais la réalité, c’est aussi un chômage en forte augmentation, des secteurs entiers de l’économie à l’arrêt forcé et des conditions d’octroi des prêts rendues plus difficiles. Donc moins d’acheteurs potentiels et qui préfèrent, pour ceux qui peuvent, aller se mettre au vert. On comprendra aisément que les vendeurs d’un bien classique auront plus de mal à trouve acquéreur même si l’offre reste, à Paris, inférieure à la demande.
Chasseur And Co aura tout de même permis de belles réalisations à Paris et sa région : acquisitions de studios ou deux pièces pour investisseurs, appartements avec le fameux extérieur, locations de locaux administratifs, de foyer familial pour association, de logements pour salariés de sociétés, à aller voir sur https://www.chasseurandco.fr/fr/biens-immobiliers-deja-trouves.
Pour 2021, Chasseur And Co aimerait prédire un avenir plus serein, mais n’étant ni devins, ni magiciens, nous sommes surs d’une chose : être pour vos projets immobiliers, une écoute attentive et un soutien sans faille. Nous vous souhaitons le meilleur à venir.