Quand on fait appel à un chasseur immobilier, bien souvent, le besoin de changer d’endroit correspond à un moment précis de la vie des personnes ou des entreprises : la demande est urgente et il faut trouver un bien immobilier rapidement.
Quand la demande est moins urgente, se pose la question du meilleur moment pour démarrer la mission de recherche : y-a-t-il des bonnes ou des mauvaises périodes pour rechercher un bien ?
La haute saison commence en mars et se finit en septembre.
Le printemps apporte un climat plus doux, des visites plus tardives dans la journée permise par l’allongement des jours et permet de présenter des biens sous un aspect plus attractif que sous les pluies glaçantes de novembre.
C’est également le début des projections pour les mutations et les familles tentent d’être installées fin août dans leur nouvelle demeure pour être à pied d’œuvre dès la rentrée scolaire.
Il faut aussi intégrer dans le calendrier les délais de vente de plus en plus longs (compter 4 mois entre l’offre d’achat acceptée et la signature de l’acte authentique), les travaux éventuels, le déménagement et le temps de souffler un peu.
L’avantage de cette période est qu’il y a plus de biens sur le marché, l’offre est un peu plus étoffée et l’on peut espérer trouver le bien qui correspond vraiment. Mais il y a un inconvénient aussi…Il y a plus d’acquéreurs, donc plus de concurrence. La hausse des prix s’en ressent, les négociations sont limitées et la rapidité pour être les premiers à visiter et à réagir pour concrétiser n’est pas une option. Combien sont ceux qui ont vu le bien idéal leur passer sous le nez ?
Ce n’est donc pas une mince affaire que de devoir jongler entre son emploi du temps professionnel et celui de la famille.
A partir d’octobre et jusqu’à mars, s’ouvre la basse saison, mais pas seulement en raison du climat ou des jours qui raccourcissent. Toute cette période est également ponctuée d’autres priorités que sont la rentrée après l’été, la reprise de multiples activités, la gestion du quotidien, les fêtes de fin d’année et les vacances scolaires diverses. De plus, il est vrai que visiter le soir après le travail, quand il fait nuit et froid, n’est pas très motivant et ne permet pas de voir un appartement ou une maison dans la luminosité du jour, et d’identifier aussi des défauts qui peuvent être plus facilement cachés quand il fait plus sombre. A moins d’y consacrer aussi tous ses samedis et sacrifier la vie de famille et les activités habituelles, il est bien compréhensible de préférer passer le week-end au chaud qu’arpenter les rues, nez en l’air et bonnet sur la tête.
Cependant, cette saison ne manque pas d’intérêt pour autant. Il est fréquent que les biens qui restent à la vente sont ceux qui n’ont pas trouvé preneur auparavant parce que présentant quelques défauts (mais pas toujours) ou parce qu’au-dessus du prix du marché. L’offre un peu terne et moins d’acquéreur en goguette donnent un pouvoir de négociation supplémentaire que la haute saison ne permet pas. Moins de monde, moins de stress, des vendeurs quelquefois plus pressés, c’est un différent, plus sélectif, mais pas sans intérêt pour les acquéreurs.
Si le marché immobilier d’entreprise ne répond pas aux mêmes contraintes, il n’en demeure pas moins qu’un gros déménagement pendant la période creuse de l’entreprise est plus facilement gérable. Cette période correspond généralement à la plupart des prises de congés par les salariés. Cela permet un transfert d’activité plus serein autant pour les salariés qui seront moins déroutés, que pour l’entreprise dont le transfert impactera moins son activité.
Un déménagement n’est cependant pas toujours dicté pour ces raisons de conforts et les impératifs économiques, juridiques et de performances commandent. Le marché reste ainsi soutenu tout au long de l’année avec souvent un moment de respiration en décembre et janvier.
Ainsi, le marché évolue sans cesse en fonction des saisons et de l’environnement économique. Le chasseur immobilier s’attache à s’adapter en permanence aux multiples changements de ce marché, par exemple en renforçant sa réactivité sur la recherche elle-même, en chouchoutant plus les vendeurs pour les rassurer et concrétiser une acquisition avec beaucoup de concurrence, en négociant au plus bas sans casser la relation avec le vendeur. Les chasseurs de Chasseur And Co connaissent bien ces multiples paramètres à ajuster constamment pour mener à bien leur mission de recherche.
Ainsi, la meilleure saison pour faire appel à un chasseur immobilier, est surtout celle qui correspond à chacun. Les avantages et les inconvénients s’équilibrent. Les critères sont remplis, le prix correspond, le timing aussi. N’est-ce pas cela, le meilleur moment ? Alors, si vous pensez que c’est le bon moment de faire appel à un chasseur immobilier, contactez Chasseur And Co !
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